Et quant à la jouissance que donne à un esprit parfaitement juste, à un coeur vraiment vivant, la belle pensée d'un maître, elle est sans doute entièrement saine mais, si précieux que soient les hommes qui la goûtent vraiment (combien y en a-t-il en vingt ans ?), elle les réduit tout de même à n'être que la pleine conscience d'un autre.