Marcel Proust | A la recherche du temps perdu
Texte : I II III IV V VI VII
Anthologie | Etude | Livre | Résumé
Marcel Proust | C'était elle qui était maintenant ce qu'Albertine avait été autrefois : mon amour pour Albertine n'avait été qu'une forme passagère de ma dévotion à la jeunesse
Marcel Proust | Ce mouvement oublié refit du corps qu'il anima, celui de cette Albertine qui me connaissait encore à peine. Il rendit à Albertine, cérémonieuse sous un air de brusquerie, sa nouveauté première
Marcel Proust | ces pommiers étaient là en pleine campagne comme des paysans, sur une grande route de France. C'était une journée de printemps
Marcel Proust | Combien peu d'ailleurs, je savais, je saurais jamais de cette histoire d'Albertine, la seule histoire qui m'eût particulièrement intéressé
Marcel Proust | C’était Léa habillée en homme. Ainsi certaines personnes se retrouvent toujours dans notre vie pour préparer nos plaisirs et nos douleurs
Marcel Proust | Et désireuse de se montrer gentille mais contrariée d'être asservie, elle avait plissé le front puis, tout de suite, très gentiment, dit : « C'est cela »
Marcel Proust | il m'était souvent arrivé en lisant des Mémoires, un roman, où un homme sort toujours avec une femme, de désirer pouvoir faire ainsi
Marcel Proust | La connaissance d'Albertine | La gravité de cette présentation, je la ressentis tout de suite
Marcel Proust | la fameuse “Albertine”. Elle sera sûrement très “fast”, mais en attendant elle a une drôle de touche
Marcel Proust | la mort de Robert de Saint-Loup. L'être si spécial. Sa vie et celle d'Albertine s'étaient croisées à peine
Marcel Proust | La réalité est le plus habile des ennemis
Marcel Proust | le secret de la variation de la conduite des femmes qui ne nous aiment pas
Marcel Proust | On refuse dédaigneusement, à cause de ce qu'on aime et qui vous sera un jour si égal, de voir ce qui vous est égal aujourd'hui, qu'on aimera demain