Marcel Proust | A la recherche du temps perdu
Texte : I II III IV V VI VII
Anthologie | Etude | Livre | Résumé
401 Pour que la mort d'Albertine eût pu supprimer mes souffrances
402 D'ailleurs, au souvenir des heures même purement naturelles
403 Ce qui remplissait mon coeur maintenant
404 Comme elle accourait vite me voir à Balbec
405 Ma séparation d'avec Albertine
406 Je n'avais pas encore reçu de nouvelles d'Aimé
407 Aimé alla loger à côté de la villa de Mme Bontemps
408 Ce qui vint à mon secours contre cette image de la blanchisseuse
409 Si encore ce retrait en moi des différents souvenirs d'Albertine
410 Aussi la lecture des journaux m'était-elle odieuse
411 Les romanciers prétendent souvent
412 Je ramenais avec moi les filles qui m'eussent le moins plu
413 | 6.2 Mademoiselle de Forcheville | Ce n'était pas que je n'aimasse encore Albertine
414 Quelques jours après, ma mère entrant dans ma chambre
415 Aussi après le déjeuner, quand j'allai chez Mme de Guermantes
416 La duchesse finissait d'ailleurs par éprouver de sa persévérance
417 Quand M. de Guermantes eut terminé la lecture de mon article
418 Nous étions dans ma chambre pour une autre raison
419 En ce qui concerne le jeune homme sportif, neveu des Verdurin
420 Quand Andrée fut partie
421 Je lui montrai le papier
422 | 6.3 Séjour à Venise | Ma mère m'avait emmené passer
423 Plusieurs des palais du Grand Canal étaient transformés en hôtels
424 Parfois au crépuscule en rentrant à l'hôtel je sentais que l'Albertine d'autrefois
425 Après le déjeuner, quand je n'allais pas errer seul dans Venise
426 Le soir je sortais seul, au milieu de la ville enchantée où je me trouvais
427 | 6.4 Nouvel aspect de Robert de Saint-Loup | Oh ! c'est inouï
428 Dans la maison de femmes – où on procurait de plus en plus des hommes
429 Ces deux mariages dont nous parlions avec ma mère
430 Une autre erreur encore que tout jeune lecteur peu au courant
431 Je compris qu'une séparation avait failli se produire entre Robert et sa femme
432 Dans une soirée où j'avais rencontré Robert
433 Je n'aurais d'ailleurs pas à m'arrêter sur ce séjour que je fis à côté de Combray
434 | 7. Le Temps retrouvé | Toute la journée, dans cette demeure
435 J'eus du reste l'occasion, pour anticiper
436 Je ne voulus pas emprunter à Gilberte sa Fille aux yeux d'or
437 Je m'arrêtai là, car je partais le lendemain
438 | 7.2 M. de Charlus pendant la guerre | Cette disposition-là, les pages de Goncourt
439 Le salon Saint-Euverte était une étiquette défraîchie
440 Tous ces téléphonages de Mme Verdurin
441 Quarante-huit heures n'étaient pas passées que certains faits que j'appris
442 Je parlai à Saint-Loup de mon ami le directeur du Grand Hôtel de Balbec
443 Ils n'étaient pas restés à Tansonville
444 C'est ainsi qu'ayant voulu aller chez Mme Verdurin
445 Au temps où je croyais ce qu'on disait, j'aurais été tenté
446 La guerre se prolongeait indéfiniment
447 C'est comme au théâtre quand on dit
448 Que cette parenthèse sur Mme de Forcheville
449 Je pensai aussitôt à Combray
450 Après le raid de l'avant-veille, où le ciel avait été plus mouvementé que la terre
451 Mais il faut revenir en arrière. Je descends les boulevards
452 Tout d'un coup le patron entra, chargé de plusieurs mètres de grosses chaînes de fer
453 Je descendis et rentrai dans la petite antichambre où Maurice
454 Comme il est simple ! jamais on ne dirait un baron
455 Tout en me rapprochant de ma demeure, je songeais
456 Dans ce livre où il n'y a pas un seul fait qui ne soit fictif
457 | 7.3 Matinée chez la princesse de Guermantes | La nouvelle maison de santé
458 Quand Jupien eut aidé le baron à descendre
459 Mais c'est quelquefois au moment où tout nous semble perdu
460 Mais le souvenir douloureux d'avoir aimé Albertine
461 Un rayon oblique du couchant me rappela instantanément un temps
462 L'idée d'un art populaire comme d'un art patriotique
463 Comment la littérature de notations aurait-elle une valeur
464 Il n'est pas certain que, pour créer une oeuvre littéraire, l'imagination et la sensibilité
465 Certes nous sommes obligé de revivre notre souffrance particulière
466 Si je m'étais toujours tant intéressé aux rêves
467 | 7.4 Le Bal de têtes | À ce moment le maître d'hôtel
468 Certes, dans les coulisses du théâtre
469 Presque aussitôt après quelqu'un parla de Bloch
470 En plusieurs, je finissais par reconnaître, non seulement eux-mêmes
471 Il y avait des hommes que je savais parents d'autres
472 Chose curieuse, le phénomène de la vieillesse semblait dans ses modalités
473 Mais après cette anticipation, revenons trois ans en arrière
474 Encore la sensation du temps écoulé et d'une petite partie disparue de mon passé
475 Du reste, il faut bien dire que cette ignorance des situations réelles
476 Plus d'une des personnes que cette matinée réunissait
477 Une dame sortit, car elle avait d'autres matinées
478 Je regardais Gilberte, et je ne pensai pas
479 Or pendant ce temps avait lieu à l'autre bout de Paris
480 Cependant je remarquai, sans aucune satisfaction d'amour-propre
481 Bloch s'étant approché de nous
482 La vie de la duchesse ne laissait pas d'ailleurs d'être très malheureuse
483 Par moments, sous le regard des tableaux anciens réunis par Swann
484 Mais comment puis-je vous parler de ces sottises
485 Enfin cette idée du Temps avait un dernier prix pour moi
486 Maintenant, me sentir porteur d'une oeuvre
487 | Fin | Ce serait un livre aussi long que Les Mille et Une Nuits