Marcel Proust | A la recherche du temps perdu
Texte : I II III IV V VI VII
Anthologie | Etude | Livre | Résumé
001 | 1. Du Côté de Chez Swann | Longtemps, je me suis couché de bonne heure
002 À Combray, tous les jours
003 Ma seule consolation, quand je montais me coucher
004 Pendant bien des années
005 Mais le seul d’entre nous pour qui la venue de Swann
006 Mais regrettant de s’être laissé aller à parler
007 L’angoisse que je venais d’éprouver
008 Maman passa cette nuit-là dans ma chambre
009 C’est ainsi que, pendant longtemps
010 | 1.1.2 Combray II | Combray, de loin, à dix lieues à la ronde
011 La cousine de mon grand-père – ma grand-tante
012 Je n’étais pas avec ma tante depuis cinq minutes
013 Pendant que ma tante devisait ainsi avec Françoise
014 L’abside de l’église de Combray
015 En rentrant de la messe, nous rencontrions souvent M. Legrandin
016 Enfin ma mère me disait
017 Sur la table, il y avait la même assiette de massepains
018 Aussi je n’entrais plus dans le cabinet de repos
019 Cette obscure fraîcheur de ma chambre
020 Quelquefois j’étais tiré de ma lecture
021 J’avais entendu parler de Bergotte
022 Un jour, ayant rencontré dans un livre de Bergotte
023 Tandis que je lisais au jardin
024 Le curé avait tellement fatigué ma tante
025 Quand je dis qu’en dehors d’événements très rares
026 Si la journée du samedi, qui commençait une heure plus tôt
027 À cette heure où je descendais apprendre le menu
028 Hélas ! nous devions définitivement changer d’opinion sur Legrandin
029 Je dînai avec Legrandin sur sa terrasse
030 Nous rentrions toujours de bonne heure de nos promenades
031 Quand on voulait aller du côté de Méséglise
032 La haie laissait voir à l’intérieur du parc
033 Léonie, dit mon grand-père en rentrant
034 Une fois dans les champs, on ne les quittait plus
035 Comme la promenade du côté de Méséglise était la moins longue
036 Mes promenades de cet automne-là furent d’autant plus agréables
037 C’est peut-être d’une impression ressentie aussi auprès de Montjouvain
038 S’il était assez simple d’aller du côté de Méséglise, c’était une autre affaire d’aller du côté de Guermantes
039 Je m’amusais à regarder les carafes que les gamins mettaient dans la Vivonne
040 Un jour ma mère me dit
041 Combien depuis ce jour, dans mes promenades du côté de Guermantes
042 Pendant toute la journée, dans ces promenades, j’avais pu rêver au plaisir
043 C’est ainsi que je restais souvent jusqu’au matin à songer au temps de Combray
044 | 1.2 Un amour de Swann | Pour faire partie du petit noyau
045 Certes le petit noyau n’avait aucun rapport avec la société où fréquentait Swann
046 Mais, tandis que chacune de ces liaisons
047 Mon grand-père avait précisément connu
048 En disant aux Verdurin que Swann était très smart
049 L’année précédente, dans une soirée
050 Aussi quand le pianiste eut fini, Swann
051 Si l'on n'avait pas arrangé une partie au-dehors c'est chez les Verdurin
052 Mais il n'entrait jamais chez elle
053 Une seconde visite qu'il lui fit eut plus d'importance
054 Rien qu'en approchant de chez les Verdurin
055 Sur le palier, Swann avait été rejoint par le maître d'hôtel
056 Il monta avec elle dans la voiture
057 Maintenant, tous les soirs, quand il l'avait ramenée chez elle
058 Chaque baiser appelle un autre baiser
059 Et en effet elle trouvait Swann intellectuellement inférieur
060 Comme tout ce qui environnait Odette
061 Il y avait à ce dîner, en dehors des habitués
062 Mme Cottard qui était modeste et parlait peu
063 Saniette
064 En réalité il n'y avait pas un fidèle qui ne fût plus malveillant que Swann
065 Le soir, quand il ne restait pas chez lui à attendre l'heure de retrouver Odette
066 Un soir où Swann avait accepté de dîner avec les Verdurin
067 Il ne lui parla pas de cette mésaventure
068 Quand il voulut dire adieu à Odette pour rentrer
069 Un mois après le jour où il avait lu la lettre adressée par Odette à Forcheville
070 Alors ce salon qui avait réuni Swann et Odette devint un obstacle
071 Il avait eu un moment l'idée, pour pouvoir aller à Compiègne
072 Il est vrai qu'un jour Forcheville
073 Après ces tranquilles soirées les soupçons de Swann
074 Ainsi, par le chimisme même de son mal
075 Certes l'étendue de cet amour, Swann n'en avait pas une conscience directe
076 Mon oncle conseilla à Swann de rester un peu sans voir Odette
077 Même quand il ne pouvait savoir où elle était allée
078 Il arrivait encore parfois, quand, ayant rencontré Swann, elle voyait
079 Le baron lui promit d'aller faire la visite
080 Swann s'était avancé, sur l'insistance de Mme de Saint-Euverte
081 Le pianiste ayant terminé le morceau de Liszt
082 Le pianiste qui avait à jouer deux morceaux de Chopin
083 Swann, habitué quand il était auprès d'une femme
084 Mais le concert recommença et Swann comprit
085 Il y a dans le violon – si, ne voyant pas l'instrument
086 Swann n'avait donc pas tort de croire que la phrase de la sonate existât réellement
087 À partir de cette soirée, Swann comprit que le sentiment qu'Odette
088 Un jour il reçut une lettre anonyme, qui lui disait qu'Odette
089 Un jour, étant dans la période de calme la plus longue
090 Swann avait envisagé toutes les possibilités. La réalité est
091 Ce second coup porté à Swann était plus atroce
092 Une fois elle lui parla d'une visite que Forcheville
093 Certains soirs elle redevenait tout d'un coup avec lui d'une gentillesse
094 Le peintre ayant été malade, le docteur Cottard lui conseilla un voyage
095 Il se trompait. Il devait la revoir une fois encore
096 | 1.3 Noms de pays : le nom | Parmi les chambres dont j'évoquais le plus souvent l'image
097 Le nom de Parme, une des villes où je désirais le plus aller
098 Mais je n'étais encore qu'en chemin vers le dernier degré de l'allégresse
099 Le premier de ces jours – auxquels la neige
100 Mais au moment même, je ne pouvais apprécier la valeur de ces plaisirs nouveaux
101 J'avais toujours à portée de ma main un plan de Paris
102 Les jours où Gilberte m'avait annoncé qu'elle ne devait pas venir
103 Je rejoignis les bords du lac