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Honoré de Balzac
Audiobook / Livre audio : Balzac, Le père Goriot. Lu par Éric Herson-Macarel (8h34)
Balzac | Il a raison, j’ai toujours le temps de me tuer — C’est souvent, reprit l’Espagnol, au moment où les jeunes gens désespèrent le plus de leur avenir, que leur fortune commence
Balzac | En ce temps, l’esprit de parti engendrait des haines bien plus sérieuses qu’elles ne le sont aujourd’hui | On entendait les provocations les plus haineuses. Les regards étaient chargés comme des pistolets
Auerbach | Balzac n'a plus le sens des normes. Toute manie devient chez lui une grande passion ; il est toujours prêt à faire un héros ou un saint de n'importe quel malheureux
Balzac | admirant ces corrections qui lui en apprenaient plus sur la littérature et sur l’art que ses quatre années de travaux, de lectures, de comparaisons et d’études
Balzac | Votre Lucien est un homme de poésie et non un poète, il rêve et ne pense pas, il s’agite et ne crée pas | À chaque chose, sa loi : l’éternel diamant doit être sans tache, la création momentanée de la Mode a le droit d’être sans consistance
Balzac | Le libraire Doguereau : S’il gagnait trop d’argent, il se dissiperait, il ne travaillerait plus | Lucien : — Je vous prie de me rendre mon manuscrit. J’aime mieux le brûler, monsieur !
Balzac | Splendeurs et misères des courtisanes | IV : La dernière incarnation de Vautrin
Balzac | Splendeurs et misères des courtisanes | III : Où mènent les mauvais chemins
Balzac | Splendeurs et misères des courtisanes | II : À combien l’amour revient aux vieillards
Balzac | Splendeurs et misères des courtisanes | I : Esther heureuse
Balzac | Splendeurs et misères des courtisanes
Balzac | Illusions perdues | III : Ève et David
Balzac | Illusions perdues | II : Un grand homme de province à Paris
Balzac | Illusions perdues | I : Les Deux Poètes
Balzac | Illusions perdues
Balzac | L’une des gloires de la Société, c’est d’avoir créé la femme là où la Nature a fait une femelle
Balzac | Les Secrets de la princesse de Cadignan
Eric Rohmer | Je ne cesse de relire Balzac, Dostoïevski, Meredith ou Proust, auteurs prolixes, riches, touffus. Ils m'apportent la présence d'un monde vivant sa propre vie
George Steiner | Tolstoï ou Dostoïevski. Entre un livre très gros et un livre mince, la différence est presque d'ordre métaphysique. La vie n'est pas un livre mince. Elle est terriblement longue, et touffue, et dense. Le Temps lui-même en marche
Adorno | Mahler aurait recommandé de passer moins de temps à l'étude du contrepoint et de lire davantage Dostoïevski. Chez Mahler comme dans les romans, c'est au bord de la catastrophe que le bonheur vient le mieux
Audiobook / Livre audio : Balzac, Illusions perdues / Splendeurs et misères des courtisanes. Lu par Pierre-François Garel (23h29 + 20h)
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